Message pascal de Bernard Devert.

Il est de ces moments dans l’année, Noël, Pâques, 15 août, où je vous écris, vous partageant un peu ce qui me fait vivre. Il m’est agréable de vous exprimer ma gratitude pour votre accompagnement sans lequel nous ne parviendrions pas à assurer ce prendre-soin à l’égard de ceux que la vie fragilise.
Quelle odieuse prétention serait la mienne si je pensais que ce qui a été bâti était le fruit de mon travail ; il est d’abord le vôtre, sensible à votre fidélité sans laquelle il n’y aurait pas de continuité.